Le 17 décembre 2010, le jeune tunisien Mohammed Bouazizi s’immolait dans la ville de Sidi Bouzid, déclenchant ainsi sans le vouloir la Révolution de jasmin, la chute du dictateur Ben Ali et la transition démocratique. Cinq ans après, la Tunisie n’est pas sortie d’une zone de risques… Le grand angle diplo de François Clemenceau, rédacteur en chef au JDD.

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